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La fraîcheur descend enfin et me retient. J'appartiens sur ma chaise longue à la totalité de la voûte étoilée. Les grillons envahissent le silence de la nuit. Un chien aboie très loin au village, là bas. Seule. Je ne veux pas lâcher cette nuit d'éternelles...
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En ce retour du mois de Juillet, à mes bonnes fées Viviane, of course, and ReNée " Je me suis éloigné de toi" dit-il. Le mal est fait. Supercherie. Je ris noir d'impuissance, of course: -Je- ne peut ainsi user de -Toi-, Tu et Je liés , font ou défont...
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Seule dans la grande maison seule. Avec toutes ses présences qui flottent aux mille coins. Pic de la chaleur, deux heures solaires. La maison se refermait derrière tous ses contrevents. Les portes des chambres se fermaient sur des ronflements de bien-être...
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Dans cet enchevêtrement , lignes inextricables, poser son index sur son nom et remonter le fil des origines. Un autre nom, une date très ancienne. Rien de plus. Le mystère du commencement. Juste se rassurer d'avoir trouvé.
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J'essaie de me coucher une heure plus tôt, vraiment pas facile. J'ouvre les yeux sur le rond de soleil projeté sur le mur par la percée du contrevent. Huit heures. C'est bien. Que faire avec la promesse d'une aussi belle journée? La célèbrer. Comment...
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Le bois suinte les mois de pluie. Alors, son énergie sauvage rayonne.
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Quelle insistance! Je ne peux qu' approcher. " Vous m'écrivez. Comme en songe vous m'écrivez. Pourtant ce n'est plus vous vraiment qui m'écrivez, ni moi Qui reçois comme en songe votre lettre. Les nouvelles s'en vont, s'égarent et parviennent Après un...
En Arles dans les ateliers industriels ( tout près des Alyscamps) déambule et piètine au gré du blanc et noir. Préfère à peine une série de photos à une autre, à peine. Chaque pays, chaque appartenance culturelle , sociale ou métaphysique , chaque univers...
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Elles sont d'une insignifiante profusion. Pourtant la banalité de l'allée. en leur absence.
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Entre deux profondeurs de sommeil et d’oubli, La terre tourne, et ferme, et rouvre son œil bleu. Notre état naturel est d’absence dans ces ténèbres. Mais sans fin convoqués nous franchissons par vagues L’espace que nos cils cernent ici dans l’épaisseur...
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