Tant d'occupations en cet été indien, travaux et plaisirs. La lumière est douce et frissonnante aux matins tissés de toiles d'araignées,à la cueillette secrète et prodigieuse dans les bois. Le léger voile attend d'être soulevé par de mystérieux vols de...
Envisager la vie à partir de la mort...Passages à accompagner de chants. et voir ce que seul nous pouvons voir, et désirer la musique de la vie et des vagues et des rencontres..et transmettre en échange d'affection le fil de la sérénité qui traverse le...
Tumulte et Sérénité dans la Nature , en notre nature. et Humilité. http://www.youtube.com/watch?v=MPIQ80wMkdM " Pourquoi faut-il que tu partes en m'abandonnant? Je reviendrai" Still the water
"complètement dingue quand même ce que ça nous fait quand il...
A l'heure du soir la plus tragique, dans la fausseté de l'heure, il dit simplement:" Ne tue pas l'araignée". Alors , à la gloire de la mouche, ce poème de mon blog préféré:
http://schabrieres.wordpress.com/2014/10/04/serge-wellens-laraignee-2001/#comments...
Avec deux négations, deux impératifs, quatre infinitifs et démonstratifs et quelques autres mots simples, tout ce que l'on peut dire! On rebâtit même un nouveau monde!!
Ne vous laissez pas envahir par ces pleurs, par cette peine. Non. Continuez à oublier,...
Aujourd'hui, c'est ce chemin , c'est ta voie...il suffit de voir chaque chose à sa lumière sur son fond de pénombre.
Je lis rarement des sagas. Celle-ci , c'est une amie qui me la recommande. une amie de confiance pour partager nos goûts. Le roman se...
Etendue sur le côté pour le plaisir du soleil dans le rouge des myrtilliers . Je l'ai aperçue, sortie d'un conte de l'enfance, fantastique. Un quart d'heure supplémentaire de rêve entre passé et présent, hors du temps.
http://schabrieres.wordpress.co...
S' efforcer à l'oubli, à la douceur, au sourire. Parier sur la beauté, la poésie, le partage, les murmures, le silence Croire encore en tout cela ...malgré le fracas épouvantable de notre planète.
Vivre est un secret soufflé au creux de l’oreille une...
Logés dans le cristal on buvait la lumière Chaque jour recousait le travail matinal Plus douce que la mer une brise attisait comme un feu d’espérance On renaissait à l’aube toujours neuf à soi-même On mangeait à midi servis par des mains d’anges qui devinant...